jeudi 31 décembre 2015
lundi 28 décembre 2015
Evénement : Le 05 janvier 20H00 à la Salle Saint Gobain de Thourotte le ciné-club des Films De La Gorgone propose la comédie déjantée Les Rois Du Patin
Les Films de la Gorgone (l'association spécialisée dans l’audiovisuel qui coproduit Culture Prohibée avec le soutien du Conseil Départemental De L'Oise) et le service culturel de La Ville De Thourotte organisent leur ciné-club mensuel (Tarifs : 4€ / 3€ pour les moins de 16 ans). Au programme, ce 05 janvier à 20H00 à la Salle Saint-Gobain de Thourotte (à une heure de Paris et de Lille, pour le trajet cliquez ici), Les Rois du Patin (2007), une comédie étasunienne réalisé par Josh Gordon & Will Speck.
Le pitch : Deux patineurs olympiques, adversaires de toujours mais disqualifiés de toute compétition officielle depuis quelques années après s'être battus en public, ont l'occasion unique de participer de nouveau à un tournoi international. Mais pour cela, ces deux rivaux historiques vont devoir patiner... ensemble !
Le Bonus : Les Rois du Patin est une comédie hilarante ultra-culte de l'autre côté de l'Atlantique et totalement méconnue en Europe, elle met en vedette Will Ferrell. Elle s'inscrit dans le mouvement dit du "Frat Pack", qui réunit une troupe d'acteurs et d'auteurs qui ont révolutionné le film comique étasunien (Seth Rogen, Ben Stiller, Jack Black, Robert Downey Jr, entre autre, en font partie).
Le débat portera sur cette fine équipe qui a pondu quelques chef-d'œuvres du genre comme Dodgeball, Tonnerre sous les tropiques, Mon beau-père et moi & La famille Tenenbaum. Venez nombreux !!!
samedi 26 décembre 2015
Dans Culture Prohibée cette semaine : Emission spéciale Vittorio Storaro et le giallo à l’occasion de la sortie DVD de Journée noire pour un bélier dont la photo est assurée par la Maestro aux trois Oscars (Le chat qui fume)
Retrouvez cette semaine Culture Prohibée sur les antennes de nos radios partenaires (cf. liens ci-contre dans la rubrique "Nous écouter sur votre poste de radio").
Au programme de votre émission préférée consacrée à l'actualité de la contre-culture, une spéciale Vittorio Storaro et le giallo (à l’occasion de la sortie DVD de Journée noire pour un bélier dont la photo est assurée par la Maestro aux trois Oscars-Le chat qui fume), le sommaire :
-Une rencontre avec l'immense Vittorio Storaro (cf. photo de Roland Thomas ci-dessous avec Jérôme Pottier & Vittorio Storaro) qui nous parle, entre autre, de son travail sur L'oiseau au plumage de cristal de Dario Argento et Journée noire pour un bélier de Luigi Bazzoni.
Merci à Jean-Charles Canu et Fabien Gaffez pour leur aide sur cette émission.
Playlist de l'émission :
-Générique d'après DJ No Breakfast remixé par Léo Magnien (notre flamboyant ingénieur du son);
-Extraits des B.O. de 1900, Journée noire pour le bélier & L'oiseau au plumage de cristal (Ennio Morricone).
Téléchargez l'émission de la semaine dernière
Téléchargez l'émission de la semaine dernière, une spéciale sorties DVD & BR, le sommaire :
-Le jour de la comète, Qui l’a vue mourir & Jean Rollin le rêveur égaré (The Ecstasy of Films) ;
-Jurrasic Box & Le massacre des morts-vivants (Artus Films) ;
-Les classiques Universal oubliés avec Le fils de Frankenstein, Le spectre de Frankenstein, Frankenstein rencontre le loup-garou, La maison de Frankenstein, Deux nigauds contre Frankenstein, la trilogie de Shohei Imamura comprenant Cochons et cuirassés, La femme insecte, Le pornographe et le documentaire I am Bruce Lee (Elephant films) ;
-Trois sublimes canailles de John Ford (Rimini Editions) ;
-Themroc de Claude Faraldo (Tamasa Distribution) ;
-Pour la peau d’un flic de et avec Alain Delon (Pathé) ;
-Le BR ultra collector du Body Double de Brian De Palma (Carlotta Films) ;
-Un court entretien avec Jean Rollin.
Le lien : http://213.246.53.78/grafhit/podcast/cultureProhibee/CP_S7E17.mp3
Bonne écoute!!!
mercredi 23 décembre 2015
lundi 21 décembre 2015
Preview de l'émission de la semaine prochaine : Journée noire pour un bélier
Origine : Italie
Année : 1971
Un film réalisé par Luigi Bazzoni
Avec Franco Nero, Silvia Monti, Wolfgang Preiss…
Edité en DVD Zone 2 chez Le chat qui fume (2006)
Andrea est un journaliste porté sur la bouteille. Il enquête sur une série de meurtres dont il devient, bien involontairement, le principal suspect...
Le réalisateur Luigi Bazzoni semble avoir privilégié la qualité au détriment de la quantité puisque sa filmographie se résume à six films pour le cinéma et que, parmi ceux-ci, les titres qui nous sont parvenus se distinguent par leur originalité. On peut citer L’homme, l’orgueil et la vengeance (1968) avec Franco Nero et Klaus Kinski, étonnante adaptation western de Carmen ou Le orme (1975), étrange thriller teinté de science-fiction et variation libre autour du film d’Alain Resnais L’année dernière à Marienbad (1961). Entre ces deux œuvres à la fois personnelles et pleinement ancrées dans le genre, Luigi Bazzoni signe donc cette Journée noire pour le Bélier (titre original) que l’on peut classer dans la catégorie du « giallo » (thriller sanglant à l’italienne avec tueur mystérieux et scènes de meurtres stylisés). Ce genre est alors à son apogée (son âge d’or se situe entre 1969 et 1972) après les succès des premiers films de Dario Argento (L’oiseau au plumage de cristal-1969) et de quelques titres particulièrement réussis à l’époque (La queue du scorpion de Sergio Martino, La tarentule au ventre noir de Paolo Cavara, tous deux de 1971).
En quittant un club après le réveillon du jour de l’An, un enseignant est violemment agressé et laissé inconscient. Le journaliste Andrea Bild (Franco Nero, le Django de Sergio Corbucci, 1966), entre deux cuites au J&B, est chargé de l’enquête. Peu après, la femme handicapée d’un médecin ayant participé à la même soirée que le professeur molesté est assassinée, un gant auquel il manque un doigt est placé près de son cadavre. Alors que la police piétine, l’employeur d’Andrea est retrouvé mort dans un parc, un gant découpé à un doigt près du corps ; sans alibi, le journaliste passe du statut d’enquêteur à celui de suspect numéro un !
Une courte mais efficace séquence pré-générique nous fait entendre la voix chuchotante et menaçante du tueur (enregistrée sur une bande) puis nous fait pénétrer par une série de travellings avant en très grand angle (vision « fish-eye ») dans la discothèque où sont réunis les futurs protagonistes. Un cri de femme vient clore la séquence. Ce prologue filmé du point de vue de l’assassin (voix off, caméra subjective, vision « déformée » de la réalité…) sera l’unique accès que nous aurons à l’univers mental de ce dernier. En effet, c’est ensuite du point de vue désabusé et alcoolisé du journaliste Andrea que les événements sont perçus et rapportés ; incarné avec beaucoup de justesse par Franco Nero, ce personnage emprunte beaucoup à la figure du détective privé du film noir américain (les attributs vestimentaires : imper, feutre mais aussi les méthodes d’investigation entre faux flegme et vrais éclats de violence).
De même, il semble que c’est plutôt du côté du thriller anglo-saxon que The Fith Cord puise son influence, les scènes de meurtres recherchant davantage la sobriété du suspense que l’esthétisme choc propre à la plupart des « giallos ». A ce titre, la première attaque du tueur est tout à fait remarquable, celle-ci ne durant que quelques secondes (la victime impotente est étranglée puis jetée du haut d’un escalier) mais succédant à une longue séquence muette où la femme rampe sur le sol, son visage cadré de près semblant supplier le spectateur. Points d’orgue habituels du « giallo », les meurtres et leur ritualisation passent ici au second plan : le patron d’Andrea meurt d’une crise cardiaque avant que l’assassin ne puisse utiliser son arme blanche et une femme est retrouvée noyée dans sa baignoire sans que l’on ait vu le modus operandi du tueur. En lieu et place des traditionnelles effusions de sang propres au genre, Luigi Bazzoni opte plutôt pour un univers à la violence froide et diffuse, à l’image de l’environnement dans lequel évoluent ses personnages. L’espace urbain tient dans le film un rôle prépondérant : l’architecture moderne, faite d’immenses tours, de souterrains déserts, de ponts gigantesques ou d’escaliers monumentaux, écrase, menace et isole les personnages et confère à la ville (non identifiée) une dimension quasi-monstrueuse. Très souvent filmé en plongée lors de ses déplacements dans cet espace, le journaliste Andrea n’en apparaît que plus perdu et abandonné, à l’image en fait de la plupart des protagonistes (Helen, son ex-femme esseulée, Giulia, la prostituée…).
Au-delà de sa trame policière parfois confuse (il y a certainement trop de personnages secondaires et de sous-intrigues un peu inutiles), The Fifth Cord développe un sous-texte tout à fait passionnant où le cadre urbain (la Cité et ses formes géométriques disproportionnées mais aussi les intérieurs aussi vastes que désincarnés) devient un reflet de l’âme de ceux qui le traverse. De plus, à l’image de certains films américains de l’époque (Klute de Alan J. Pakula, sorti la même année), le métrage de Luigi Bazzoni convoque une atmosphère proche de la paranoïa où les espaces à la fois infinis et déserts qui dominent les personnages semblent contenir et protéger l’insaisissable assassin. La menace invisible finit par exploser dans le dernier quart d’heure du film qui voit se succéder un mémorable assaut nocturne du tueur dans une demeure isolée puis une époustouflante course poursuite filmée caméra à l’épaule entre ce dernier et Andrea dans une usine désaffectée. Doté d’une photographie somptueuse (due au grand chef-opérateur Vittorio Storaro qui a travaillé aussi bien pour Dario Argento que pour Francis Ford Coppola sur Apocalypse Now-1979), The Fifth Cord s’impose finalement comme une œuvre puissante et originale qui semble préfigurer par son atmosphère urbaine, morbide et glaciale le Ténèbres de Dario Argento (1982) et annoncer le désenchantement existentiel qui sera à l’œuvre dans les « poliziotteschi » des années à venir.
Alexandre Lecouffe
Année : 1971
Un film réalisé par Luigi Bazzoni
Avec Franco Nero, Silvia Monti, Wolfgang Preiss…
Edité en DVD Zone 2 chez Le chat qui fume (2006)
Andrea est un journaliste porté sur la bouteille. Il enquête sur une série de meurtres dont il devient, bien involontairement, le principal suspect...
Le réalisateur Luigi Bazzoni semble avoir privilégié la qualité au détriment de la quantité puisque sa filmographie se résume à six films pour le cinéma et que, parmi ceux-ci, les titres qui nous sont parvenus se distinguent par leur originalité. On peut citer L’homme, l’orgueil et la vengeance (1968) avec Franco Nero et Klaus Kinski, étonnante adaptation western de Carmen ou Le orme (1975), étrange thriller teinté de science-fiction et variation libre autour du film d’Alain Resnais L’année dernière à Marienbad (1961). Entre ces deux œuvres à la fois personnelles et pleinement ancrées dans le genre, Luigi Bazzoni signe donc cette Journée noire pour le Bélier (titre original) que l’on peut classer dans la catégorie du « giallo » (thriller sanglant à l’italienne avec tueur mystérieux et scènes de meurtres stylisés). Ce genre est alors à son apogée (son âge d’or se situe entre 1969 et 1972) après les succès des premiers films de Dario Argento (L’oiseau au plumage de cristal-1969) et de quelques titres particulièrement réussis à l’époque (La queue du scorpion de Sergio Martino, La tarentule au ventre noir de Paolo Cavara, tous deux de 1971).
En quittant un club après le réveillon du jour de l’An, un enseignant est violemment agressé et laissé inconscient. Le journaliste Andrea Bild (Franco Nero, le Django de Sergio Corbucci, 1966), entre deux cuites au J&B, est chargé de l’enquête. Peu après, la femme handicapée d’un médecin ayant participé à la même soirée que le professeur molesté est assassinée, un gant auquel il manque un doigt est placé près de son cadavre. Alors que la police piétine, l’employeur d’Andrea est retrouvé mort dans un parc, un gant découpé à un doigt près du corps ; sans alibi, le journaliste passe du statut d’enquêteur à celui de suspect numéro un !
Une courte mais efficace séquence pré-générique nous fait entendre la voix chuchotante et menaçante du tueur (enregistrée sur une bande) puis nous fait pénétrer par une série de travellings avant en très grand angle (vision « fish-eye ») dans la discothèque où sont réunis les futurs protagonistes. Un cri de femme vient clore la séquence. Ce prologue filmé du point de vue de l’assassin (voix off, caméra subjective, vision « déformée » de la réalité…) sera l’unique accès que nous aurons à l’univers mental de ce dernier. En effet, c’est ensuite du point de vue désabusé et alcoolisé du journaliste Andrea que les événements sont perçus et rapportés ; incarné avec beaucoup de justesse par Franco Nero, ce personnage emprunte beaucoup à la figure du détective privé du film noir américain (les attributs vestimentaires : imper, feutre mais aussi les méthodes d’investigation entre faux flegme et vrais éclats de violence).
De même, il semble que c’est plutôt du côté du thriller anglo-saxon que The Fith Cord puise son influence, les scènes de meurtres recherchant davantage la sobriété du suspense que l’esthétisme choc propre à la plupart des « giallos ». A ce titre, la première attaque du tueur est tout à fait remarquable, celle-ci ne durant que quelques secondes (la victime impotente est étranglée puis jetée du haut d’un escalier) mais succédant à une longue séquence muette où la femme rampe sur le sol, son visage cadré de près semblant supplier le spectateur. Points d’orgue habituels du « giallo », les meurtres et leur ritualisation passent ici au second plan : le patron d’Andrea meurt d’une crise cardiaque avant que l’assassin ne puisse utiliser son arme blanche et une femme est retrouvée noyée dans sa baignoire sans que l’on ait vu le modus operandi du tueur. En lieu et place des traditionnelles effusions de sang propres au genre, Luigi Bazzoni opte plutôt pour un univers à la violence froide et diffuse, à l’image de l’environnement dans lequel évoluent ses personnages. L’espace urbain tient dans le film un rôle prépondérant : l’architecture moderne, faite d’immenses tours, de souterrains déserts, de ponts gigantesques ou d’escaliers monumentaux, écrase, menace et isole les personnages et confère à la ville (non identifiée) une dimension quasi-monstrueuse. Très souvent filmé en plongée lors de ses déplacements dans cet espace, le journaliste Andrea n’en apparaît que plus perdu et abandonné, à l’image en fait de la plupart des protagonistes (Helen, son ex-femme esseulée, Giulia, la prostituée…).
Au-delà de sa trame policière parfois confuse (il y a certainement trop de personnages secondaires et de sous-intrigues un peu inutiles), The Fifth Cord développe un sous-texte tout à fait passionnant où le cadre urbain (la Cité et ses formes géométriques disproportionnées mais aussi les intérieurs aussi vastes que désincarnés) devient un reflet de l’âme de ceux qui le traverse. De plus, à l’image de certains films américains de l’époque (Klute de Alan J. Pakula, sorti la même année), le métrage de Luigi Bazzoni convoque une atmosphère proche de la paranoïa où les espaces à la fois infinis et déserts qui dominent les personnages semblent contenir et protéger l’insaisissable assassin. La menace invisible finit par exploser dans le dernier quart d’heure du film qui voit se succéder un mémorable assaut nocturne du tueur dans une demeure isolée puis une époustouflante course poursuite filmée caméra à l’épaule entre ce dernier et Andrea dans une usine désaffectée. Doté d’une photographie somptueuse (due au grand chef-opérateur Vittorio Storaro qui a travaillé aussi bien pour Dario Argento que pour Francis Ford Coppola sur Apocalypse Now-1979), The Fifth Cord s’impose finalement comme une œuvre puissante et originale qui semble préfigurer par son atmosphère urbaine, morbide et glaciale le Ténèbres de Dario Argento (1982) et annoncer le désenchantement existentiel qui sera à l’œuvre dans les « poliziotteschi » des années à venir.
Alexandre Lecouffe
vendredi 18 décembre 2015
Dans Culture Prohibée cette semaine : Emission spéciale sorties DVD & BR suivie d'une rencontre avec Jean Rollin
Retrouvez cette semaine Culture Prohibée sur les antennes de nos radios partenaires (cf. liens ci-contre dans la rubrique "Nous écouter sur votre poste de radio").
Au programme de votre émission préférée consacrée à l'actualité de la contre-culture, une spéciale sorties DVD & BR, le sommaire :
-Le jour de la comète, Qui l’a vue mourir & Jean Rollin le rêveur égaré (The Ecstasy of Films) ;
-Jurrasic Box & Le massacre des morts-vivants (Artus Films) ;
-Les classiques Universal oubliés avec Le fils de Frankenstein, Le spectre de Frankenstein, Frankenstein rencontre le loup-garou, La maison de Frankenstein, Deux nigauds contre Frankenstein, la trilogie de Shohei Imamura comprenant Cochons et cuirassés, La femme insecte, Le pornographe et le documentaire I am Bruce Lee (Elephant films) ;
-Trois sublimes canailles de John Ford (Rimini Editions) ;
-Themroc de Claude Faraldo (Tamasa Distribution) ;
-Pour la peau d’un flic de et avec Alain Delon (Pathé) ;
-Le BR ultra collector du Body Double de Brian De Palma (Carlotta Films) ;
-Un court entretien avec Jean Rollin.
Merci à Mathilde Gibault, Kevin Boissezon, Christophe Cosyns et Victor Lopez pour leur aide sur cette émission.
Playlist de l'émission :
-Générique d'après DJ No Breakfast remixé par Léo Magnien (notre flamboyant ingénieur du son);
-Extraits des B.O. d’Opération Dragon (Lalo Schifrin) & Body Double (Pino Donnagio) ;
-The Living Dead (Laetitia Shériff) ;
-Get Up Stand Up (Bob Marley).
Téléchargez l'émission de la semaine dernière
Téléchargez l'émission de la semaine dernière, une spéciale sorties bouquins, le sommaire :
-Retour sur deux polars, Le Fils de Jo Nesbo & Personne ne le saura de Brigitte Gauthier (Série Noire-Gallimard) ;
-Deux ouvrages liés au fantastique, Au grenier des sortilèges de Jacques Baudou (Rivière Blanche-Collection Noire) & Danse avec le taureau de Philippe Ward (Editions Wartberg) ;
-Évocation de Le Brady cinéma des damnés (Editions Verticales) en compagnie de son auteur Jacques Thorens ;
-En bonus, un très court entretien avec Jean Fournier mythique projectionniste du Brady.
Le lien : http://213.246.53.78/grafhit/podcast/cultureProhibee/CP_S7E16.mp3
Bonne écoute!!!
vendredi 11 décembre 2015
Dans Culture Prohibée cette semaine : Emission spéciale sorties bouquins avec l'interview de Jacques Thorens (Le Brady Cinéma des damnés-Editions Verticales)
Retrouvez cette semaine Culture Prohibée sur les antennes de nos radios partenaires (cf. liens ci-contre dans la rubrique "Nous écouter sur votre poste de radio").
Au programme de votre émission préférée consacrée à l'actualité de la contre-culture, une spéciale sorties bouquins, le sommaire :
-Retour sur deux polars, Le Fils de Jo Nesbo & Personne ne le saura de Brigitte Gauthier (Série Noire-Gallimard) ;
-Deux ouvrages liés au fantastique, Au grenier des sortilèges de Jacques Baudou (Rivière Blanche-Collection Noire) & Danse avec le taureau de Philippe Ward (Editions Wartberg) ;
-Évocation de Le Brady cinéma des damnés (Editions Verticales) en compagnie de son auteur Jacques Thorens ;
-En bonus, un très court entretien avec Jean Fournier mythique projectionniste du Brady.
Merci à Christelle Mata & Philippe Ward pour leur aide sur cette émission.
Playlist de l'émission :
-Générique d'après DJ No Breakfast remixé par Léo Magnien (notre flamboyant ingénieur du son);
-Extraits des B.O. de Superfly (Curtis Mayfield) & Le retour de Ringo (Ennio Morricone) ;
-Black Sabbath (Black Sabbath) ;
-Torero (Ska-P) ;
-Smack My Bitch Up (The Prodigy) ;
-Ilsa She Wolf of the SS (The Renfields).
Téléchargez les deux émissions sur William Friedkin
Téléchargez les deux dernières émissions, une série consacrée à Sorcerer-Le convoi de la peur, le sommaire :
-Retour sur le film qui vient de sortir dans une superbe édition collector Blu-Ray (La Rabbia) ;
-Rencontre avec William Friedkin.
Les liens :
-Partie 1 : http://213.246.53.78/grafhit/podcast/cultureProhibee/CP_S7E14_friedkin01.mp3
-Partie 2 : http://213.246.53.78/grafhit/podcast/cultureProhibee/CP_S7E15_friedkin02.mp3
Bonne écoute!!!
dimanche 6 décembre 2015
Evénement dans Culture Prohibée cette semaine : Rencontre avec William Friedkin autour de Sorcerer-Le convoi de la peur
Au programme de votre émission préférée consacrée à l'actualité de la contre-culture, la fin d'une série de deux émissions spéciales William Friedkin à l'occasion de la sortie, dans un superbe Blu-Ray collector, de Sorcerer/Le convoi de la peur (La Rabbia) avec :
-Une rencontre durant laquelle William Friedkin revient sur le sauvetage et la restauration de son film préféré et réputé perdu, Sorcerer/Le convoi de la peur.
Pour plus d'infos, analyses et autres commentaires sur l'oeuvre de William Friedkin, cliquez ici.
Playlist de l'émission :
-Générique d'après DJ No Breakfast remixé par Léo Magnien (notre flamboyant ingénieur du son);
-Extraits de la B.O. de Sorcerer.