vendredi 1 mai 2015

Evénement : Le 5 mai 20H00 à la Salle Saint Gobain de Thourotte projection de VERA CRUZ


Les Films de la Gorgone (l'association spécialisée dans l’audiovisuel qui coproduit Culture Prohibée avec le soutien du Conseil Général De L'Oise) et le service culturel de La Ville De Thourotte organisent leur ciné-club mensuel (Tarifs : 4€ / 3€ pour les moins de 16 ans). Au programme, ce 5 mai à 20H00 à la Salle Saint-Gobain de Thourotte (à une heure de Paris et de Lille, pour le trajet cliquez ici), Vera Cruz, un western américain réalisé par Robert Aldrich en 1954 avec Gary Cooper et Burt Lancaster.


Le pitch : "La guerre de Sécession finie, certains soldats démobilisés et sans attaches, partent à l'aventure au Mexique où se déroule une guerre civile opposant l'auto-proclamé empereur Maximilien et Benito Juárez. En effet, chacun des deux camps recrute à tour de bras pour étoffer ses troupes. Benjamin Trane, comme Joe Erin avec sa bande de brigands, sont sollicités par les deux camps. Le marquis Henri de Labordère, lié à Maximilien, l'emporte et propose aux deux hommes une mission pour le moins sans dangers : escorter le carrosse de la comtesse Marie Duvarre qui se rend à Vera Cruz. Ils ne tardent pas à soupçonner des raisons plus impérieuses à ce voyage et, au soir de la première halte, jettent un œil dans le carrosse."


Le Bonus : Selon Olivier Bitoun (DVD Classik), « Vera Cruz est le chaînon manquant entre le western classique et le western plus violent à la Sam Peckinpah (La horde sauvage), voir le western désabusé à la Sergio Leone (Pour une poignée de dollars). Vera Cruz est un western nihiliste qui sait aussi se faire drôle et cynique, s’il a désarçonné la critique lors de sa sortie il est aujourd’hui considéré comme un classique, une œuvre avant-gardiste. Le réalisateur de Fureur Apache, En quatrième vitesse, Le Grand couteau, Le Démon des femmes et Les 12 salopards (entre autre) continue d’analyser les travers de notre société dans ce western qui confronte Burt Lancaster à Gary Cooper pour ce que Bertrand Tavernier et Jean-Pierre Coursodon qualifient d’histoire d’amour entre deux hommes … sans connotation sexuelle. »

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